




Le Poveiro, marin, Il est un croyant sincère. Lorsque vous avez, il andadeiro des saints qui frappent à sa porte qui ne conduisent pas l'aumône, toujours accompagné par sa prière au saint connu pour que: “Dame des Douleurs me donner la santé” ou “S. José m'a valu” ou “Senhor dos Aflitos nos acude“. Quand dois pas, boîte, en hivers, claquement de la faim et cela lui la force pour commettre les montants et la promenade sur ces villages, porte à porte, les maisons des agriculteurs, un PEDIR un esmolinha para o “poveirinho que le Seigneur ne donne pas la mer“, que l'argent est en eux – et il pourrait conjurer la faim plusieurs jours – Elle est sacrée, Ne le touchez pas.
Il est féconde en promesses faites aux saints. Dans la plus petite détresse en mer ou sur terre fait une promesse, attente d'un miracle tout. Mais ce sont des saints graves, carrancudos, qui ne peuvent pas jouer, même si certains sont bienveillants. Il ya aussi des saints bonacheirões, laissant Le Poveiro jouer avec joie, boire une goutte en son honneur, tirer la brise brejeiras deux chansons et envoyer les passions du diable. Ce sont les trois saints populaires des Portugais: Saint Anthony, S. John et S. Pedro, o preferido d’ Le Poveiro. Vous pouvez même dire que ce qui est le plus intéressant dans le songbook de la population de Povoa de Varzim est due à la célébration de ce saint, Quartiers pêches atteignent une certaine bizarrerie: hier, Toutes se trouvent dans l'autel, plein de fleurs et de bougies, qui brûlent toute la nuit pour éclairer la sainte; dans les rues, à côté des portes, le feu, et çà et là des danses folkloriques avec le chant au défi.
Telle est la grande fête populaire, où Le Poveiro élargit exubérance. Ranches et feux, altos et des triangles et botador versets des chansons qui commence avec la vie de S. Pedro ou brejeirices em nome dele. Par exemple:
La’ Mon Peter
La’ Mon Peter
La’ meu c’ reca
Je vais aller à la pieuvre à votre Fournir.